Chaque collection est l’occasion de se réinventer.

Depuis bientôt 10 ans, yay vous raconte une multitude d’histoires, chacune interprétant librement des expériences émotionnelles, voyages intérieurs et étincelles esthétiques.

Pour cette saison, yay vous emmène non loin, et même tout proche, au plus profond de l’intime avec une vision assumée de la dualité présente en chacun de nous.

Dans cet espace entre soi et le monde, yay s’immisce, d’un délicat fil d’or. Yay tisse, bijou après bijou, une toison dorée. Telle une seconde peau, cette toile précieuse pensée telle une armure de l’âme, infiltre le corps et révèle en filigrane une ambivalence complexe et mystérieuse, son soi.

De cette interprétation de l’être, yay souhaite révéler ce contraste entre les forces que l’on dévoile stratégiquement, et les faiblesses quelques fois perceptibles telles d’infimes éclats, fragiles et purs.

D’une délicate armure, yay recouvre le corps, pour libérer un visage doux et un regard tranchant, des mains directives et envoutantes. Dans cette collection, pas de nuance, le noir profond et le blanc cristallin se juxtaposent. Les formes régulières et franches répondent aux élans baroques, coup par coup, comme un jeu de stratèges. Ce sont ces forces opposées qui nourrissent chacun des bijoux de la collection, et que l’on emprisonne tels de de précieux talismans… échec et mat.

Double Je* révèle la frontière de l’intime, où le meilleur comme le pire se côtoie. De ce contraste assumé, naît une nouvelle version de yay. Cette collection est l’occasion d’assumer qui on est. L’un et l’autre, et plus jamais l’un sans l’autre.